| Cicadelle du laurier (Synophropsis lauri (Horváth, 1897)) |
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Nom latin : Synophropsis lauri (Horváth, 1897) Nom commun : Cicadelle du laurier Nom anglais : Ordre : Hemiptera Famille : Cicadellidae Envergure : 5,7-6,5 mm. Biotope : Sur les arbustes à feuillage persistant, principalement le Laurier-sauce (Laurus nobilis) et le Lierre grimpant (Hedera helix). Zone géographique : Sud-est de l'Europe, Proche-Orient, en expansion vers le nord (Suisse en 2000, Angleterre en 2007, etc.) Période d'observation : Les adultes s'observent principalement de juin à novembre. Il peut y avoir 2 générations annuelles. Les femelles hivernent. |
La Cicadelle du laurier présente un vertex triangulaire proéminent et presque plan. Les antennes sont assez longues. Les ailes antérieures sont grisâtres à roussâtres avec les nervures pales peu marquées aux remarques suivantes près. Les extrémités des nervures sur le bord interne des ailes sont bordées de noir. Il en résulte un alignement dorsal typique de trois petites taches noires. Les nervures sont aussi bordées de noir vers l'apex de l'aile où la membrane apparait légèrement enfumée. Les pattes sont très épineuses. Les larves sont de couleur vert brillant avec l'abdomen qui se termine en pointe. Elles sont marquées dorsalement par quatre petites taches noires. Fieberiella florii se distingue de Synophropsis lauri par ses ailes saupoudrées de petits points noirs. |
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J'ai photographié cette cicadelle dans mon jardin où l'on trouve beaucoup de Lierre grimpant (Hedera helix) ainsi qu'une haie de Laurier cerise (Prunus laurocerasus). |
André Bon novembre 2017