| Charançon vert pâle (Polydrusus impressifrons (Gyllenhal, 1834)) |
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Nom latin : Polydrusus impressifrons (Gyllenhal, 1834) Nom commun : Charançon vert pâle Nom anglais : Pale Green Weevil or Leaf Weevil. Ordre : Coleoptera Famille : Curculionidae Envergure : 4-5 mm Biotope : Sur les feuilles de nombreux arbres comme les Saules, les Peupliers, les Bouleaux, les Ormes, les Chênes, etc. Zone géographique : Europe, a été introduit aux Etats Unis et au Canada. Période d'observation : Avril à septembre. |
La distinction entre les charançons du genre Polydrusus par rapport au genre Phyllobius peut se faire à partir du scrobe (sillon dans lequel s'insère l'antenne). Il est droit et tout juste visible chez les Phyllobius alors qu'il est courbe et s'étendant jusque sous l'œil chez les Polydrusus. Le scrobe est bien courbe chez Polydrusus impressifrons mais il est toutefois assez court. Le corps a une forme générale oblongue. Il est recouvert de petites squamules vert doré. Les élytres présentent de fines lignes longitudinales noires qui apparaissent ponctuées. Le pronotum est parsemé de petits points dénudés qui apparaissent noirs. La tête est allongée. Les yeux sont petits, noirs, saillants et assez distants l'un de l'autre. Les antennes sont fines. Le scape est légèrement arqué et claviforme. Le premier article du funicule est plus long et plus gros que le second. Les pattes sont jaune orange. Polydrusus impressifrons se nourrit de feuilles. Les larves se nourrissent sur les racines. Il y a une confusion possible avec Polydrusus formosus. Ce dernier a les yeux plus gros et plus rapprochés. Les lignes noires longitudinales sur les élytres sont plus marquées. Le rostre est légèrement plus long et se termine à plat sans encoche. |
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L'identification de Polydrusus impressifrons m'a été confirmée par Alain Ramel, que je remercie. Cette photo constitue un essai d'utilisation d'un éclairage avec un flash esclave. Il faudra que je persévère dans cette technique, surtout avec les insectes brillants qui posent beaucoup de problèmes de reflet avec le flash. |
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La finesse des stries des élytres et la petite taille des yeux orientent bien vers Polydrusus impressifrons. |
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Les essais de prises de vue sans flash ont été très difficiles, surtout à cause de la mobilité de l'insecte. Il y a eu beaucoup de déchet. Voici l'une des photos les moins mauvaises. |
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Mes photos s'améliorent. Toutefois la mise au point est un peu trop en arrière de l'œil sur celle-ci. |
André Bon mars 2017
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